Salut Nyxonaute !
Ce mois-ci, c’est l’anniversaire de la publication de mon roman, mon space opera : « Le Premier Horizon, La Voyageuse » ! Une belle occasion de mieux te présenter mes personnages après t’avoir parlé de l’univers dans lequel ils s’animent dans un article précédent (article ici). Les héros de mon livre de science-fiction étant nombreux, cela s’organisera en deux temps :
- Trane et les Proténiéturis
- Lel, Skreuex et Hafnium
Rencontre avec Trane et les Proténiéturis, décollage immédiat !
Trane :
Identité :
Trane est une Humaine, petite, brune avec des taches de rousseur. C’est une femme que l’on pourrait qualifier d’ordinaire. L’histoire ne révèle pas son âge car je tenais à ce que le lecteur puisse s’approprier le vécu de ce personnage dans une dimension plus personnelle.
Avant l’aventure :
Au début du récit, Trane est photographe saisonnière en Islande, une opportunité étonnante qui s’est présentée à elle avant le commencement du livre. C’est de cette façon qu’elle a rencontré certains de ses amis actuels. Cependant, Trane a la bougeotte et peu d’attaches. Elle n’a pas de but et navigue au gré des évènements.
Ses parents étant archéologues, Trane a grandi dans un pensionnat. Elle y a rencontré sa meilleure amie, Shelby, qui désire voir cette célibataire volage se stabiliser et être heureuse. Trane manque cruellement de confiance en elle, ce qui se sentira dans le début de l’aventure.
Particularités :
Notre héroïne aime la musique (David Bowie, The Cure, Jamiroquai, …), les jeux vidéo, le cinéma. Elle réagit à l’art de façon singulière, ceci provoquant en elle un véritable Tétris. Elle est désorganisée et également assaillie de pensées invasives, ce qui expliquera des évènements de cette histoire de science-fiction.
Le début de l’aventure :
Enlevée par Skreuex et Lel (à rencontrer dans le prochain article de ce blog), Trane doit participer à une mission qui vise à sauver l’Univers ! Elle se réveille dans l’espace, entourée de personnages impressionnants. Préparée à cette confrontation par un dispositif ayant interféré avec ses rêves, elle se trouve néanmoins perdue au milieu de ces nombreux individus dont les noms sont souvent loin d’être évidents. C’est notamment le cas pour les Proténiéturis dont nous parlerons un peu plus tard. J’ai en effet voulu transmettre cette sensation au lecteur afin qu’il puisse mieux se figurer l’évolution de la Voyageuse : une Humaine ayant à se faire une place dans un environnement difficile à appréhender.
Mais Trane est aussi terriblement attachante, parfois bien malgré elle. Heureusement, elle ne manque pas d’humour !
Certains des personnages qu’elle rencontre dans cette aventure de SF sont plus ou moins semblables aux Humains. C’est le cas des Proténiéturis, des êtres au don étrange.
Les Proténiéturis :
Il s’agit du peuple le plus représenté dans mon roman de science-fiction : « Le Premier Horizon, La Voyageuse ».
Origines :
Les Proténiéturis viennent d’un système à deux soleils, entièrement colonisé. Leurs planètes d’origine sont les jumelles Protéria et Proméria, l’une étant désertique et l’autre recouverte de glace. Les villes protis sont des cités souterraines. Leur société est régie par un système de guildes et peu de lois. Leur longévité se calcule en siècles Humains. Malgré cela, ils sont en guerre depuis plusieurs générations contre les Rachnaks. Les deux peuples n’ont pourtant jamais communiqué ensemble (j’en parle dans mon article à propos de la création d’un univers imaginaire, à retrouver ici).
Apparence :
Les yeux des Proténiéturis présentent des iris et pupilles similaires à ceux de chats, le bulbe et la forme étant identiques à ceux des Humains. Ils sont plus grands, allant jusqu’à deux mètres cinquante. Leur peau semble renfermer des volutes de fumée, donnant une ressemblance avec le manteau de Jupiter ou les étagements d’un café latté. Cette particularité se crée dans différentes nuances, comme pour Rajix et Farka, l’une présentant des couleurs chocolat sur café et l’autre neige sur onyx. Ceci s’explique par le pouvoir des brumes.
Les brumes :
Ce don, des vapeurs émanant des pores de leur peau, permet aux Proténiéturis de sentir l’état interne d’autrui et d’influer dessus. Il sert également à agir sur le monde matériel. Il y a toutefois des limites de poids et de distance (par exemple : soulever plusieurs petites charges ou une importante, avoir une action large mais proche ou éloignée et ciblée). Ils utilisent aussi leurs brumes pour communiquer de façon non-verbale, ce qui rend, pour eux, les liens des brumes plus forts que ceux du sang. Les brumes décident du destin de leur porteur puisqu’elles révèlent ses intentions, son identité profonde. Ce pouvoir explique également qu’il y ait peu de lois dans la société protis. En raison des partages occasionnés par ce don, le libre arbitre est indiscutable.
Identité :
Les enfants protis sont élevés au sein des guildes. Leurs grades font partie intégrante de leur nom, qui évolue au fil de leurs avancements. Par exemple : un apprenti est un Romis, donc Solté était appelé Soltéromis. Il est devenu Riosa après avoir gravi les échelons, devenant Soltériosa, pour finir nommé Soltérios au moment de l’histoire. Ça va, tu suis ?
Dans le récit :
Les Proténiéturis devenus membres de la Délégation sont des guerriers. Ils font preuve de peu de sentiments, élevés pour être combattants et confrontés aux affres de la guerre dès leur plus jeune âge. Mais ces soldats savent aussi se détendre. Ils aiment les parties de cartes et la liqueur d’Anchi, un alcool produit à partir d’un champignon de Protéria : le « Nitus ». Les guildes ont établi un système de marques, des récompenses pour les services qui leur sont rendus. On peut les voir tels des points de renommée permanents qui permettent d’accéder aux produits ou services voulus de la part des guildes. On se dévoue chez les Proténiéturis, et ça paye ! La société protis reconnaît le mérite de chacun dans sa catégorie, du voleur au militaire. Ce fonctionnement présente un côté Shonen, tant par rapport à leur positionnement qu’à la valorisation du dépassement de soi, du dévouement et du sacrifice. Rencontrer Trane sera un véritable chamboulement pour ces machines de guerre. C’est un peu comme si Terminator rencontrait Ponyo… Je précise : le T-800 du deuxième opus, sinon ça se terminerait en sushis !
En parlant de références, il y en a un certain nombre discrètement (ou pas) disséminées dans mon roman de science-fiction : « Le Premier Horizon, La Voyageuse ». Je me demande si tu les trouveras toutes en le lisant !?
À bientôt pour la seconde partie de la rencontre des personnages de mon roman de science-fiction !
J’espère que cet article t’a plu !
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